Ce n’est pas un fardeau que tu portes, c’est ton frère
Je vous livre aujourd’hui un tout petit conte qui me suit depuis des années et que j’avais lu et qui revenais souvent dans nos prières quand j’étais à l’ACAT (Action des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture
Sur un chemin raide et pierreux, j’ai
rencontré une petite fille qui portait sur le dos son jeune
frère.
“Mon enfant, lui ai-je dit, , tu portes un lourd
fardeau”.
Elle me regarde et me dit:
“Ce n’est pas un fardeau, monsieur, c’est mon
frère”.
Je restais interdit.
Le mot de cette enfant courageuse s’est
gravé dans mon coeur.
Et quand la peine des hommes m’accable et que tout
le courage me quitte, le mot de l’enfant me rappelle:
Ce n’est pas un fardeau que tu portes, c’est ton
frère…
C’est beau !
Joyeuses fetes !
Dans le même Esprit :
Un pauvre aidé reste un pauvre.
Un pauvre aimé devient un (mon) frère …
Je crois que c’est une formule du Père Wresinski …
C’est superbe et le visage de ces deux mignonettes m’illuminent l’esprit et le visage!!!
@ Marie: il me semble que ce sont des paroles de Charles de Foucault….
C’est très joli !
on tiens la sagesse des bouches des enfants!!