Je ne sais pas si je l’ai déjà écrit dans ces pages, mais ca y est, j’ai franchi le cap des années travaillées hors de France supérieures à celles travaillées en France. Quand on y réfléchit, cela crée un certain abime qui fait se demander ce que l’on peut encore avoir en commun avec la
Ça y est: j’ai franchi le cap du temps travaillé hors de France supérieur au temps travaillé en France. Vivre à l’étranger ou travailler en contact avec des étrangers, c’était ce que je souhaitais depuis le lycée. Le parcours fut chaotique, il l’est toujours: rien n’est jamais gagné. Par contre, ce qui est certain
Avec le renouveau du blog, j’ai décidé d’ouvrir ses pages à plus d’articles « lifestyle » et qui correspondent aussi à ma vie d’expat. Pichounette est née dans notre pays d’expatriation et a déjà pas mal voyagé depuis : soit pour rentrer en France, soit pour visiter d’autres pays. Nous avons faits des vols de maximum 8h et
Ahhh qu’il est dur de voir partir les amis ! La vie de l’expat est constituée de cette constante : voir chaque année ses amis partir sous d’autres cieux expatriés ou rentrer en France (arghh !!!). Et c’est la mort dans l’âme que nous nous rendons aux « fêtes de départ ». Parce que oui,
Parce que ce blog et sa rédactrice vont prendre quelques temps pour aller se ressourcer en France, et parce que ce texte me parle autant de vacances que d’expatriation, je vous le laisse. Quelques pensées de Jean Debruyne à glisser dans vos bagages ou vos malles d’expats. A très bientôt! Si je vais
