Résurrection. Difficile à croire. Même les disciples n’y ont pas cru d’ailleurs. Il y a ce que je peux lire dans les Evangiles. Il y a cette incrédulité persistante mêlée de joie. Des mots qui paraissent loin parfois, éloignés de mon quotidien. Et puis il y a aussi et surtout cette constatation, au jour le
Vendredi Saint Tourmente dans la foule devenue meute de loups. L’inéluctable approche, sans issue possible. Peur, panique, désir de tout lâcher, d’en finir. Souffrance. Finir à genoux. Il n’y a plus rien. Rien que le ciel qui de déchire et une mère qui pleure. Journée où tout finit… …peut-être
Jeudi Saint. Moment de fête, de repas entre amis, de pain et de vin partagé. Une fête? Derniers instants ensemble. Fraternité, humanité partagée, jusqu’au plus petit. Quelque chose se prépare, mais quoi? Etre dans l’expectative… Une arrestation, l’incompréhension. Jeudi Saint.
Cette année, la Pâques juive « Pessah » tombe en même temps que la Pâque chrétienne (du calendrier grégorien). A cette occasion, je voulais encore une fois laisser mon blog, le temps d’une recette, à Piroulie. Si vous ne connaissez pas encore son blog, précipitez-vous : ce ne sont que gourmandises ! Malheureusement, le
Avec le dimanche des Rameaux que nous avons célébré ce dimanche commence la « Semaine Sainte ». Dernière ligne droite de Carême avant Pâques. Derniers mètres à parcourir mais en même temps ce sont presque les plus durs : on sait d’avance qu’il va y avoir de la souffrance, de la sueur et la mort
